Les p’tits nénés faut en parler.
Sa maman le lui
avait dit petite, « mange tes tomates, sinon tu resteras toute plate. »
Le temps à
passé et rien n’a poussé, elle a beau chercher toutes les nouveautés d’engrais sensés
gonfler ses sous développés mais rien n’y fait ; Loanais n’a toujours pas
de tétés.
Finalement elle
y trouve son compte, car elle n’a pas à se soucier des effets dus à la gravité,
sans compter les économies faites sur les balconnets, et le plaisir de courir
sans risquer de s’assommer à chaque foulée.
Elle le clame « Vivre
sans gros nichons n’est pas une punition, c’est une libération ! »
Sauf au réveil
de ses nuits somnambuliques où elle se retrouve avec 2 pamplemousses
judicieusement placés sous sa blouse.
Bah oui ! Raison
et passion n’ont pas de bonnes relations quand il s’agit de tétons.