Je participe à une expo collective dont le vernissage aura lieu le 24 juin à

la Galerie NO

Avec cet hiver bien plus rigoureux qu’à mon gout, je me suis inopinément endormie un soir où j’avais froid… Veuillez m’excuser pour l’absence occasionnée, mais j’étais entrain d’hiberner.

Le soleil étant de la partie aujourd’hui je me suis dis qu’il était temps de me remettre à poster sur mon blog adoré. Toutes mes excuses pour ce long silence.

Scellé sous la pluie, l’homme ombré subit l’extraordinaire épopée du fabuleux rongeur costumé.

Cet urbaniste humaniste, obnubilé par le devoir accompli, se retourne sans sourciller roupiller dans son clapier.

Repos bien mérité pour cet esthète adepte des veuves éplorées (mais néanmoins bien roulées) opprimées par leur accablant corset.

Albert Bhère s'éveille scotché au papier.

"Quelle nuit ! Quelle nuit torride ! Victor Hieuléloncil en concert, quel délire ! 18h d'accordéon au "Chat Non", cet homme là est un diable des galas !"

Charenton, Vierzon, Besançon, il le suit à toutes occasions.

Il est même allé jusqu'à s'incruster dans une répet' privée, déguisé en prêtre séculier, à l'église des bénédictines pour apercevoir… Sa "symphonic idylle".

Le voir se donner corps et âme dans le maniement de son instrument, telle est la raison de sa folle passion.

Debout, au fon et dans le rouge, Méline prise de panique s’exprime.

« Ma boite….Ma boite à thé !!!.... Egarée, bousillée, électrocutée!!! »

Ah mais quenéni !

Nikené au nez moussé, boursouflé de mandales bien placées, s’en est allée s’y installer pour harceler…hé hé!

Ce pauvre félin de fêlé, terrifimatisé par le cri acéré de cette saleté qui voudrait l’empailler, pour l’installer dans sa salle à manger, en guise de trophée.

Rosalie, Jacinthe, Marguerite, elle est celle que vous désirez.

Séductrice accomplie aux charmes infinis, elle se fait belle. Ce soir, c’est pour hubert.

Elle s’astique, se mouille, se mousse et se poudre, si bien que trois heures après l’heure du déjeuner, Hubert s’en est allé, lui taguant sous le nez que sa patience est limitée.

C’est ainsi qu’est née, par cette journée ensoleillé, l’expression moulte fois déclamée de « la rose- heure à- rosser »…Non mais !

Bien zélé de z’ailes, Zabeille vise et pique l’os d’Apo Logique, qui, réactif de la goûte lacrimère,

prie la reine mère Marie, pour qu’elle élimine, mouche et assassine,

les toxines du bobo bien visé de cette satanée tsé tsé.

Appelé par les grandes marées, l’amiral Paco-Tille est prêt à embarquer.

Cet originaire de Meribel, sujet au mal de mer, s’entraîne nuit et jour, (enfin… surtout le jour) pour se faire embaucher sur le "Pacific Princess" en tant qu’hôtesse de mer.

Belle promotion pour ce mou-sans-haillons, pleins d’ambitions... Depuis qu’il a décidé de fuguer, le jour de son union forcée avec la fille du PDG du KGB.

Un peu benêt le fiancé !

Voici un travail fait à 4 mains et par mails interposés avec mon ami Nosubir rencontré sur le web. Une sympathique rencontre et un chouette concept.

Vous pouvez consulter ses photos sur :

http://sites.google.com/site/eyezest/

Des cartons et tonton qui joue du violon, "héron, héron petit patapon" et pont musical qui attise étoiles, toiles et ficelles dans ce joyeux bordel qui s’entremêle.

Maline, elle s’emmêle tout de même, entre ses mains, son pied et ces merles éberlués, qui, par leurs sursauts répétés, sont prêts à lui dégobiller leur petit déjeuner, sur sa robe brodée au crochet.

Le matin c’est dur… les yeux bouffis et les idées endolories par un sommeil tout juste fini, lulu désemparée par une déambulation incohérente, se cogne et insulte les murs.
Excédée, par ce corps incompétent elle s’insurge. Mais plus la colère s'en mêle, plus sa maladresse casse, renverse et persévère. 
Il faut qu’elle sorte ! Marcher tout droit, regarder ses pieds pour ne pas écraser un caca tout frais, et surtout, surtout ! Ne pas oublier que c’est au bonhomme vert qu’il faut traverser.
Enfin arrivée, elle espère en silence que personne ne va lui poser de questions trop compliquées car c’est une de ces matinées, où le cerveau est mal irrigué et les mots des gens se mélangent et changent de sens.
L’expresso arrive… Encore un peu de précautions pour bien doser le sucre, touiller sans déborder et bien viser pour avaler la première gorgée.
L’apaisement l’envahit au fur et à mesure que l’élixir se diffuse. Son cerveau se réanime pendant que son corps se libère de cette espèce d’entité manipulatrice aux directives sadiques et anarchiques.
Maintenant fraîche comme une fleur, elle remercie le saint torréfacteur pour ses capacités retrouvées, grâce à ce breuvage aux multiples propriétés, en vente dans tout bon supermarché.

Comme vous avez pu le constater la semaine dernière, mes mots sont partis en vacance, donc je me suis mise aux maths, ça me change un peu.

Les aditions plutôt que les conjugaisons, c’est plutôt rafraichissant !

Comme quoi, les cours particuliers de mathématiques de quand j’étais petite n’auront pas été vains… Je sens que mes parents vont être fiers de moi !